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dimanche 29 juin 2014

Voyage à Paris, Dimanche 22 juin

La nuit de l'été

     Pour rentrer, j'ai du faire une partie à pieds car la station de métro était fermée à cette heure-ci. C'est toute une aventure de traverser le centre de Paris en pleine nuit pendant la fête de la musique. Je n'ai jamais vu autant de monde dans une ville, ni autant de flics, pompiers, agents de la RATP,... Heureusement que ces derniers étaient là car j'ai pu prendre le métro à la station Saint-Michel (qui n'a jamais été aussi blindée) et arriver ainsi à la Porte d'Orléans à trois heure du matin (je n'ose imaginer l'heure si j'étais rentré à pied).


Martial Raysse

     Après un réveil tard et difficile, je suis retourner une troisième fois au centre Pompidou. Je ne pouvais quand même pas quitter Paris sans aller voir la rétrospective sur Martial Raysse ! Elle ne m'attirais pas trop mais j'ai appris avec celle sur Mapplethorpe à ne pas ce fier à ses préjugés. Je ne regrette pas car l'exposition est très complète. S'enchaînant chronologiquement, les œuvres sont d'intérêt variables selon les goût. Moi, j'apprécie surtout sont travail pictural des années quatre-vingt. Son film de 1970 Le Grand Départ a aussi sut m’arrêter, ou alors c'était parce-que j'étais très fatigué.


Retour à Tours


     Après avoir dépensé quatre-vingt-quinze euros en bouquin au centre Pompidou (en plus de neuf euros pour une édition BeauxArts sur Fontana achetée au musée d'art moderne), c'est en étant très fatigué que j'ai quitté Paris en métro pour le Pont de Sèvre. Là, je me suis reposé deux-heures dans un parc en attendant dix-huit heure. Avec Kevin au volant et trois autres voyageurs, nous partons, un quart d'heure en retard. Parmi nous, le chauffeur est un futur ostéopathe, une passagère se mariera l'année prochaine et un étudiant de vingt ans vient de finir un stage en régie à Africa 24. Kevin nous dépose, moi et les deux jeune femmes, à Tours et continue sa route jusqu'à Angoulême. J'arrive chez moi, il est vingt-heure-trente.

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